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Communiqués de presse

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COMMUNIQUE DE PRESSE du 27 janvier 2005

Réaction aux propos de Madame Offergeld sur la suppression des trains Liège-Gouvy en heures creuses

D’après la Meuse Luxembourg de ce 27 janvier 2005, Madame Offergeld, Présidente du Conseil d’Administration du holding SNCB, a émis la suggestion de supprimer les trains Liège - Gouvy (Luxembourg) en heures creuses et de les remplacer par des bus. Si la ligne 42 souffre d’une certaine désaffection, la SNCB ferait mieux d’en rechercher les causes et d’y apporter les remèdes qu’il convient. C’est en premier lieu la vitesse commerciale insuffisante qui est en cause. Sur tout le tronçon belge, cette ligne ne peut être pratiquée qu’à 90km/h maximum. C’est anachronique à l’heure de la Grande Vitesse pour laquelle on n’hésite pas à investir des dizaines de milliards. La SNCB qui exploite des lignes sinueuses en Wallonie ne s’est jamais intéressée à la solution que la technologie propose pour les lignes de ce type, à savoir le train pendulaire, et qui est largement répandue et appliquée en Suisse, en Italie ou encore en Norvège. Ensuite vient la cadence bi-horaire. Toutes les expériences prouvent qu’une augmentation de la fréquence entraîne une augmentation de la fréquentation. Le matériel lourd dont fait usage la SNCB est énergivore et lent. Les matériels modernes peuvent sur un parcours de dix kilomètres desservir deux arrêts intermédiaires et réaliser le même temps de parcours. Sur les lignes régionales allemandes et suisses, les arrêts sont à la demande : procédure inconnue à la SNCB (ou plutôt tombée dans l’oubli, car elle a été pratiquée jadis). Le temps de parcours d’un bus sera certainement supérieur d’une heure à celui du train. Veut on dissuader tous les touristes de visiter la région de l’Amblève et de la Salm ? Last but not least : le confort du bus n’égalera jamais celui du train. Et que faire des vélos pour lesquels un fourgon est spécialement attelé aux trains et qui se présentent généralement en heures creuses ? Nous suggérons donc à la SNCB, de faire l’essai d’un autorail TER, loué aux Chemins de Fer Luxembourgeois voisins ou d’un Talent, loué à l’Euregiobahn d’Aachen, avant de prendre des décisions que nous nous permettons de qualifier de tout à fait inadaptées.

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