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Communiqués de presse

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COMMUNIQUE DE PRESSE du 7 octobre 2003

Que deviennent les liaisons ferroviaires entre la Wallonie et les pays limitrophes ?

Qu'il s'agisse des relations régionales transfrontalières ou des relations « longues distances », la SNCB les gère sans égard pour les besoins et les aspirations de sa clientèle. Pour la SNCB, il n' y en a plus que pour les liaisons à grande vitesse vers lesquelles elle essaye de détourner le plus de monde possible. La recette est simple : elle supprime tout ce qui pourrait les concurrencer. On a ainsi vu disparaître les relations Namur-Givet, Charleroi-Maubeuge, Mons-Aulnoye, Mons-Valenciennes, Namur-Maubeuge-Saint-Quentin-Paris, Liège-Köln ainsi que les trains de nuit vers la Suisse et l'Italie, via Namur et Arlon. La liaison Liège-Aachen restera, malgré les promesses, bi-horaire au 14 décembre. La SNCB s'oppose systématiquement à la demande des CFL de desservir Virton. L'infrastructure Namur-Arlon (Luxembourg) est dans un tel état que les temps de parcours actuels sont supérieurs à ceux de 1975 ! Et pourtant, l'UE vient de lui reconnaître le statut d'itinéraire prioritaire. Maintenant, le Thalys « wallon » et la liaison Tournai-Lille sont menacés. S'agit-il d'une stratégie délibérée de la SNCB d'isoler la Wallonie sur le plan international ? Nous estimons que si le Thalys wallon manque d'attractivité, cela est en grande partie dû à son prix élevé, à sa contrainte de réservation et à sa vitesse commerciale insuffisante (sur le parcours wallon, le Thalys roule à la même vitesse que les trains IC, laquelle sur certain tronçon est limitée à 100km/heure). Il faut encore remarquer que les voyageurs qui, au retour, souhaiteraient poursuivre jusqu'à Verviers subiraient à Liège une attente de près d'une heure, ce qui les détourne vers un autre service (via Bruxelles et ICA). Nous suggérons à la SNCB: - d'augmenter le nombre de places ; - d'améliorer l'infrastructure pour permettre de rouler à une vitesse décente sur la dorsale wallonne ; - de continuer jusqu' à Verviers, en rebroussant à Liège. Le potentiel démographique et économique de Verviers justifierait une liaison avec Paris sans rupture de charge. Nous demandons que la SNCB fasse preuve d'imagination, plutôt que recourir aux solutions de facilité.

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